Visuel :[Cibler les intentions d’apprentissage et les stratégies d’enseignement: besoins des élèves et besoins des enseignants.] Nathalie Giroux: puis à ça aussi, parce que vous savez, les mêmes besoins sont semblables pour les salles de classe, ça va être facile qu'on co-planifie. Là de penser à quelle stratégie, à un moment donné on peut être un peu perdu. Moi je vous dirais, on peut prendre quelques minutes pour aller voir dans le programme, l'attente, les contenus, parce que les colonnes qu'il y a, la dernière colonne avec interaction au sein de l'équipe pédagogique, interaction avec les enfants, il y a plein de stratégies là qu'on pourrait utiliser. On peut peut-être prendre deux-trois minutes, juste pour aller cibler, parce que c'est l'attente 17 qu'on cible principalement. N'est-ce pas ? Tianna: Oui. Nathalie: Moi j'en vois une autre qu'on cible aussi dans le domaine de manifestation des apprentissages en mathématique, puis en littératie. As-tu un programme, là Tianna ? Marquis Charette: Oui, on l'a ensemble. Nathalie Giroux: Nous autres on peut regarder. Il y a l'attente 17. Manon Paquet: 17-10. Nathalie: Qui est le contenu 17-10, puis la 22 que tu dis Cheryl ? C'est laquelle donc, ça ? Cheryl Swayze: C'est d'appliquer le processus mathématique à la base du développement. Il apprend ses mathématiques pour démontrer sa compréhension et communiquer sa pensée lors de l'apprentissage par le jeu et dans d'autres contextes. Nathalie Giroux: Okay. Ça serait intéressant de réfléchir aux processus mathématiques qui sont impliqués dans l'addition, la soustraction, qu'on pourrait voir puis travailler à travers ça. Okay. On va lire. Prenez deux minutes pour lire, on peut ressortir des stratégies après. Marquis Charette: On voit qu'ils parlent même du raisonnement proportionnel, qu'on a beaucoup travaillé en sept-huit-neuf. On voit que ça commence même en maternelle-jardin. Il n'est jamais trop de bonne heure, hein ? D'autres choses à ajouter ? Au niveau des stratégies ? Quantiles, matériel de manipulation, droite numérique, il y a d'autres choses ? Aimée Tokuc: Résolution de problèmes. Marquis: Résolution de problèmes, okay. Cheryl: J'aime l'idée de l'enquête sur les nombres, non seulement dans la classe, mais dans l'école. Explorer l'école. Marquis: Oui. Les faire monter les marches à l'occasion, pour… Vous avez vu là, les…? Les marches, okay. Nathalie: Là, si tu parles d'enquête, tu es en train de parler de l'apprentissage par l'enquête, puis le jeu qu'on va… qui est aussi une stratégie qu'on peut mettre. Okay. Marquis: Okay. Danielle, au niveau du gymnase, ça va ? Quelque chose à ajouter ? Danielle Clark: Non, je suis en train de penser peut-être, même avec résolution de problèmes, je peux mettre les élèves en situation où ce que, si on est en train de faire, je ne sais pas, quelque chose avec addition et soustraction, je peux avoir des groupes, utiliser les élèves mêmes, ou avec des ballons, du matériel de gymnase, des sacs de fèves. Je vais essayer de figurer quelque chose. Marquis: Au niveau des besoins, quand on a discuté, est-ce que certains concepts, est-ce que certaines choses, vous dites, ça peut peut-être dépasser votre compréhension, ou vous dites, « Je n'ai jamais trop compris ça, j'ai besoin de l'aide. » Peu importe l'accompagnement, peu importe à quel niveau; qu'on peut cibler ça avec Manon tantôt. Est-ce qu'il y a quelque chose qui vous vient à l'idée, ou un besoin particulier ? Aimée: Moi je dirais, juste après, planifier les mini leçons. Marquis: Okay. Au niveau de la planification. Nathalie: Est-ce que tout le monde comprend bien c'est quoi le concept d'addition ? Qu'est-ce que ça veut dire quand on développe le concept d'addition chez nos élèves ? Chez les enfants ? Aimée: Peut-être pas à leur niveau, parce qu'on travaille toujours l'addition comme 2 + 3 = . Dans le programme de maternelle-jardin, c'est différent. J'ai compris, mais ce serait le fun de recevoir plus de clarifications là-dessus, d'éclaircissements. Cheryl: Est-ce que c'est vraiment d'utiliser le, comme c'était juste ajouté, oui ? Pour faire un ensemble. On ne dit pas comme, 2 + 3, parce que selon moi ils ne sont pas prêts pour ça. Nathalie: Okay. Ils ne sont pas prêts pour le…? Aimée: Le symbole de l'addition. Cheryl: Le symbole, non. Nathalie: C'est bon. Je pense que tu as en partie raison avec ce que vous avez vu, puis ce que vous avez fait. Quand on regarde le continuum, on veut qu'ils développent le sens de l'opération et non pas le symbole, que ce n'est pas grave qu'il arrive plus tard, la notation symbolique. Marquis: Moi, en rentrant physiquement dans la classe, disons c'est un cinq minutes, je me promène, ils sont en train d'apprendre, ils sont en train de jouer. Est-ce qu'il y a des choses qui ont été évidentes dans certaines aires d'apprentissage ? Est-ce qu'il y a des choses que moi je peux voir ? Pas juste au niveau… Aimée: Comme preuve ? Marquis: Oui, comme preuve. Qu'est-ce que je vois que les enfants sont en train de faire. Aimée: Les photos qu'on affiche sur les murs, ou dans les aires d'apprentissage elles-mêmes. Cheryl: On a aussi les grandes droite, les droites numériques. Aimée: Oui, justement en questionnant les élèves. Marquis: Okay. Je vais entendre des questions, je vais voir des droites. Cheryl: Il y a aussi du questionnement affiché. Marquis: Okay. Questionnement affiché. Nathalie: Je vous entendais parler des pistes de monitorage, j'aurais le goût qu'on rajoute dans les stratégies de questionnement, qui est une stratégie pour travailler ça. Tout planifier notre questionnement pour amener les enfants plus loin. Peut-être tantôt, quand on va se pencher avec Manon pour qu'on co-planifie le questionnement, ça va être un élément qu'on se penche en particulier. Aimée: Puis d'afficher le questionnement dans les aires afin de nous faciliter la tâche, puis de permettre aux autres intervenants de questionner les élèves.