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Lecteur multimédia

Transcription

[ Musique ] Narratrice: Beaucoup d'entre vous ont connu des conditions très difficile et différents types d'abus. Plusieurs ont perdu leurs liens familiaux et n'ont pas appris leur langue, culture ou coutumes. Cette classe étudie l'histoire à l'aide de l'activité de la couverture. Cette leçon suscite chez les élèves une meilleure compréhension de la vraie histoire canadienne. Danielle Larouche: L'activité des couvertures de KAIROS existe depuis 1987. C'est une étape intéressante de réconciliation pour les élèves. Son objectif principal est de faire comprendre aux participants le rôle des relations entre les autochtones et les non-autochtones tout au cours de l'histoire. Donc, on va visiter tout ce qui est le pré-contact, le contact et le post-contact aussi. Si j'avais à décrire l'activité, c'est qu'on commence l'activité avec des couvertures qui sont étendues sur le sol, qui représente « l'Île de la Tortue ». Au début, les élèves vont avoir trois cartes en main, dont une carte où l'on voit « L'Île de la Tortue » avant la colonisation, tout le territoire qui était occupé par eux. Par la suite, une carte avec les différents traités. On commence à voir les zones qui sont délimitées. Et la dernière carte est vraiment par rapport aux différentes communautés : les réserves et ce qui reste comme territoire des Premières Nations, des Métis et des Inuit présentement. Pendant toute l'activité, les élèves vont jouer le rôle des Premières Nations, des Métis et des Inuit et ils vont entendre l'histoire. Donc, les faits historiques qui se sont déroulés de l'arrivée des Européens à aujourd'hui. On va voir la façon dont les traités se sont déroulés, les ententes entre les peuples aussi, de quelle façon ces traités se sont détériorés. Aussi, au niveau de par exemple, la proclamation royale. Qu'est-ce qui est arrivé avec ça ? Les pensionnats aussi. Puis, c'est quand même une activité d'espoir, parce qu'on peut voir tout le cheminement : où est-ce qu'on est présentement avec la réconciliation, qu'on est vraiment à l'étape de guérison et de réconciliation. Ça permet aux élèves - et je pense que c'est là que c'est intéressant de le faire avec les élèves -, c'est que ça va leur permettre de prendre conscience de cette histoire qu'ils ne connaissent pas et aussi eux, comme citoyen d'aujourd'hui, qu'est-ce qu'ils peuvent faire, ce qu'ils peuvent mettre en place pour aller vers l'étape de réconciliation. Est-ce qu'il a des pas qu'ils peuvent entreprendre? Donc, à la fin de l'activité, nous demandons aux élèves de s'asseoir en cercle. On fait vraiment un cercle de partage, qui leur permet de nous dire un petit peu ce qu'ils ont vécu, les sentiments par rapport à ça et ce qui les a surpris. Est-ce qu'il y a des choses qu'ils ont apprises aussi? On utilise le bâton de parole, parce que ça permet à chaque élève d'avoir la parole et aussi de respecter la personne qui parle. Le fait d'être assis en cercle, aussi, donne cette occasion d'être tous égaux. Alors que ce soit l'enseignante, nous, les élèves, tout le monde a la même opportunité de partager ce qu'il ressent. Élève: Je pensais qu'il y avait des moments tristes, mais j'ai trouvé que c'était intéressant. Élève: Je n'ai jamais expérimenté quelque chose de semblable à ce que j'expérimente aujourd'hui. Élève: J'ai aimé cette expérience et je suis surprise qu'on soit les premiers et premières étudiants qui l'aient actuellement vécu. Donc, je pense que plus d'élèves devraient en faire expérience. Kim Piché: On connaît beaucoup de gens qui étaient des anciens élèves de l'école, alors on connaît leurs histoires. C'est très triste. Je suis contente que les élèves soient en train d'apprendre l'histoire du Canada. Enseignante: Plusieurs d'entre vous avez commencé votre phrase par "c'était", alors on vient de vivre quelque chose dans le passé. Puis, l'expérience est presque terminée. L'expérience est terminée, mais il me semble que pour vous, pour nous tous, c'est le commencement d'autres choses. Alors, si l'on fait juste regarder le passé en se disant : c'est passé ça et cela s'arrête là, cela aura presque servi à rien, ce que l'on vient de vivre. Il faut regarder le passé en se disant : « Mais maintenant, qu'est-ce que moi, aujourd'hui, je peux faire pour assurer un meilleur avenir au peuple autochtone? » Narratrice: Les perspectives multiples sont intégrées à la base de leur apprentissage quotidien. Leur vision du monde change pour atteindre une compréhension culturelle plus profonde. Naomie: Dans mon cours interdisciplinaire, j'ai fait une micrographie d'une femme qui s'appelle Yvonne Johnson. C'est une femme Cree. Malheureusement, elle a été emprisonnée, parce qu'elle a été abusée sexuellement par un homme qui était blanc. Elle l'a tué, parce qu'elle voulait protéger ses enfants. C'est sûr que si tu tues quelqu'un, tu vas aller en prison, mais elle a été emprisonnée pour longtemps. Plus longtemps que quelqu'un qui serait blanc. Donc, c'était vraiment raciste et c'était injuste. Son histoire m'a vraiment inspirée pour la représenter. Puis, j'ai aussi choisi des mots en anglais, parce qu'elle était une femme qui parlait anglais. Elle voulait vraiment donner sa voix et elle avait écrit un livre sur son histoire. C'est vraiment une femme forte. J'avais écrit plusieurs différents mots dont « crime, Indigenous, Cree, brave », parce que ça prend vraiment beaucoup de courage pour écrire un livre et donner son histoire de ce qui lui est arrivé à elle. J'ai aussi écrit qu'elle n'a pas eu d'enfance, parce que c'est arrivé quand elle était vraiment jeune. C'est comme s'il avait volé son enfance. C'est vraiment injuste. Elle m'a vraiment inspirée. Puis, les autres élèves de la classe ont choisi leurs propres personnages et ont fait la même chose. Simon: Ça fait un an il me semble qu'on commence plus à le faire. Avant ça, je ne connaissais plus ou moins rien. Ma mère connaissait des choses, donc elle me disait des histoires ou elle chantait des chansons, mais pas beaucoup. On a appris beaucoup. On citait des tambours. Les treize morceaux représentent les treize lunes. Puis, on a quatre différents bois, parce que beaucoup de choses sont séparées en quatre. Aussi, on a fait beaucoup de pow wow. J'ai fait des feux pour le pow wow que l'on a organisé avec l'école. Puis, j'ai appris beaucoup de choses avec les ainés qui étaient là par des conversations. On a eu une madame Ojibwe qui est venue l'année passée. On a chanté des chansons ensemble. Je trouve que c'est important, parce que si tu rencontres un autochtone, un Inuit ou un Métis, tu peux mieux les comprendre par les façons dont ils font les affaires. C'est aussi le respect. Donc, c'est juste bon de comprendre pourquoi ils font quelque chose. Cassandra: J'ai appris que le Canada est en train d'en parler de plus en plus. On ne le cache plus. On va en parler puis essayer de réparer l'histoire et dire qu'on s'excuse aux autochtones des Premières Nations, des Métis et des Inuit. Patrick: Ils ont vécu une affaire tellement traumatisante. Ils se sont fait arracher de leurs parents et de leur culture à un très jeune âge. Ils ont été mis dans des pensionnats. Les pensionnats étaient une école où ils ne pouvaient pas parler leur propre langue. Ils ne pouvaient pas parler à leurs parents, sauf pendant l'été, des fois. Ils étaient complètement arrachés à leur culture et quand ils sortaient des pensionnats, ils avaient complétement oublié leur culture ou ils avaient du trouble à se reconnecter à leur culture ou à retourner à leurs parents. Ça me fait sentir triste, parce que ce n'est pas correct d'enlever des enfants de leurs parents et de les enlever de leur culture. Quand ils sortaient des pensionnats, ils étaient tous perdus, parce qu'ils ne savaient pas où aller et quoi faire. Si l'on n'apprend pas à propos des pensionnats, on ne peut pas réparer les erreurs qu'on a faites dans le passé. On ne peut pas aider les survivants. On ne peut pas changer les erreurs du passé. On ne peut pas aider les survivants et on ne peut pas aider leurs familles. Narratrice: Ces apprentissages se font partout en province et à plusieurs niveaux scolaires. À tout âge, les élèves et le personnel s'intéressent aux études du passé. Ellie: On a fait des études sociales et puis on a appris tout ce que la GRC et le Canada ont fait de mal aux autochtones. La police a enlevé beaucoup d'enfants, parce qu'elle avait peur des autochtones. Elle voyait qu'ils étaient unis et forts ensemble. Donc, ils ont décidé de commencer à enlever leurs objets sacrés. Les autochtones ne pouvaient rien faire, parce que c'était contre la loi de se débattre contre la police. Ensuite un jour, la GRC a amené leurs enfants dans les pensionnats, puis ils ont appris à détester leur culture. Ils ont détruit leurs vêtements, parce que les vêtements c'est sacré pour les autochtones et puis, ils ont fait plein de chose de mal. Ils ont appris aux enfants à détester leur langue. Apprendre d'autres langues, autre que le mohawk et toutes ces autres langues. On n'acceptait pas les autochtones avant. C'est ce qui m'a choquée. Ils ont mis tous les enfants dans des pensionnats. Si j'étais une autochtone, je serais tellement fâchée en ce moment! Mais les autochtones, la plupart, a pardonné tout le monde. Ils sont encore en train de se réconcilier. C'est vraiment grave ce qui s'est passé. C'est important de se pardonner. On a eu quelques ateliers. La médecine et le bâton de parole. La médecine nous a appris tout sur les plantes. Si tu as une coupure, tu mettre de la résine. Ils font aussi une danse avec le tabac. La sauge est très sacrée aussi. C'est vraiment choquant de voir une si belle culture se faire détruire par une autre culture. Tout le monde devrait vivre en paix dans le monde ! C'est important d'apprendre cela, parce qu'il ne faut vraiment pas que ça se reproduise. Nola: Il n'y a pas si longtemps de ça, il y a un mois ou deux, on a eu des ateliers. C'était des autochtones qui sont venus nous parler. On n'a eu le temps que d'en faire que deux. On a fait celui sur le bâton de parole et celui sur les plantes. Pour le bâton de parole, j'ai appris qu'à chaque fois qu'il se le passe, ils respectent la personne. Il n'y a pas de temps limite. Ils parlent autant qu'ils le veulent. Ils respectent tout le monde. Dans les plantes, j'ai appris que les plantes servent à beaucoup de choses. Si on les utilise correctement, elles peuvent beaucoup nous aider. John-Paul Chalykoff: Je me souviens quand j'étais à l'école ici, c'était plus ou moins dit que les Indiens venaient du détroit de Béring. C'est ce que je me souviens du contenu autochtone dans le curriculum. Je suis content de voir qu'il y a beaucoup plus qui se passe. D'intégrer les histoires et la culture des autochtones dans les écoles, non seulement pour les élèves autochtones, mais aussi pour les élèves canadiens. Ils peuvent partager et apprendre ensemble pour avoir un plus grand respect pour l'un et l'autre. Kim Piché: Ça fait 28 ans que je suis au centre. Durant les premières dix années, on n'avait pas de demandes. Puis, les demandes ont commencé. Cela a commencé par une école francophone. On a apporté toutes nos belles choses. De là, ça a commencé : d'année en année, on a de plus en plus de demandes des écoles publiques, catholiques et/ou anglaises. Les élèves sont moins gênés. Ils apprennent plus sur la culture des Premières Nations. On voit plus d'élèves qui sont identifiés comme Premières Nations ou Métis. Souvent, ils viennent partager leurs histoires avec nous. C'est l'fun. Moi, j'apprends à chaque fois que je fais une présentation avec des élèves ou des groupes. C'est un moment de partage. C'est important. C'est l'histoire. C'est l'histoire d'où l'on vient et comment le pays a été fondé. Alors, je pense que c'est important. Quand j'étais élève à la petite école, on a appris des choses, mais ce n'était pas en détail comme ce l'est maintenant. Je trouve que c'est bien fait. Les enfants sont éduqués. Ils savent l'histoire et la culture. Ils savent qu'il y a différents groupes, de langues. C'est important, parce que les Premières Nations étaient ici avant nous autres. Aussi, on a des demandes de d'autres écoles dans la région, comme à Kapuskasing et Hearst, Kirkland Lake, New Lisgard, Haileybury, Cochrane, qui nous demandent de venir faire une présentation ou ils font une visite à Timmins et viennent nous voir. On aime les voir. On va peut-être faire un atelier sur la bannock ou juste montrer nos objets. On aime partager les choses. Notre objectif, ici au centre, c'est de partager la culture et montrer cela aux gens. Anne Desroches: À l'école, on a toujours appris que les colonisateurs sont venus sauver le peuple autochtone. C'est tout un apprentissage. Quand j'ai préparé mes ateliers de sensibilisation, c'était comme un choc! C'était une réalisation qu'on nous caché la vérité de l'histoire canadienne. Johanne Héroux-Farrow: C'est mandaté par le ministère, parce que c'est un côté de notre histoire du Canada que l'on a oublié. Je pense que c'est important pour les enfants d'avoir cette occasion de connaître leur histoire. Ce sont eux. Ce sont leurs fondements. Narratrice: L'intégration du curriculum des Premières Nations, des Métis et des Inuits contribue à renforcer ce mouvement de changement. Nola: Je me rends compte qu'ils ne nous ont absolument rien fait. On leu a fait beaucoup de mal. Ce sont des personnes qui respectent énormément la nature et ils sont toujours unis ensemble. J'apprends beaucoup de choses. Savoir quoi faire avec tout cela. Savoir que la nature en fait est une bonne alliée dans la vie et ce que c'est très utile s'il se passe quelque chose. Il ne faut pas la détruire, sinon c'est nous qui nous détruisons. Simon: Au chalet durant l'été, quand je vais prendre des marches et je vois de fleurs et certains arbres. Je connais plus de choses. C'est une plus grande appréciation de la nature. Patrick: Quand je vois quelque chose, je peux le voir d'une différente perspective qui est intéressante à vivre. Tu regardais quelque chose, mais tu le regardes d'une autre façon. Ça te donne quelque chose de bizarre dans la tête. Ça change ta perspective. C'est important d'apprendre au niveau de la culture et de l'histoire. Si l'on n'apprend pas le passé, on ne peut pas réparer les erreurs qu'on pourrait faire dans le futur. Cassandra: L'enseignement, ça ouvre l'esprit de tout le monde. Plus de monde vont comprendre, plus ils n'auront pas peur. Le monde veut apprendre. Il faut qu'on ressorte ce que le monde pense et qui n'est pas vrai. On ne va pas vous faire du mal. On n'est pas là pour vous faire du mal. On est différents, mais on vient de la même place : on est tous des Canadiens. Déborah Champagne: De façon générale, j'ai trouvé qu'ils étaient plus motivés. Je dois dire que j'ai deux élèves dans ma classe qui se sont auto-identifiés au cours de l'année ou en début d'année Premières Nations, Métis et Inuits. Je pouvais voir qu'il y avait une petite étincelle chez eux lorsqu'on parlait de ce sujet et particulièrement aujourd'hui, une élève avait l'opportunité de parler et partager ses connaissances par rapport aux Premières Nations, par rapport au Pow-Wow et tout ce qu'elle avait appris grâce au programme des perspectives sur les Premières Nations, des Métis et des Inuits, ça l'enflammait. Elle était contente de pouvoir les partager. Elle était heureuse aussi de dire qu'elle était des Premières Nations et ainsi de suite. Nathalie Ladouceur: Nous sommes en partie autochtones. Donc, l'identification devient très importante et de toutes les souches. Connaître qui l'on est, au fond, c'est la meilleure des choses. C'est comme cela qu'on se construit. C'est la raison pour laquelle le CSDCEO avec ses 10 000 élèves veut absolument rendre hommage au legs, à l'héritage des autochtones. Sans eux, on ne serait pas où l'on est aujourd'hui. Ça fait partie de notre famille élargie, notre famille grandit. D'année en année, on espère pouvoir cumuler vers la découverte de qui nous sommes en entier. Narratrice: Les répercussions de la Commission de vérité et de réconciliation et les changements au programme-cadre sur l'éducation des Premières Nations, des Métis et des Inuit se propagent partout dans la province. Cassandra: Ce n'est pas quelque chose que t'aimais parler de. Le monde te regardait différemment. Je trouve qu'ci, ce n'est vraiment pas de même et qu'on devrait en être fier. Simon: J'ai fait beaucoup de feux avec les Premières Nations d'ici. Durant l'été, ça prend beaucoup de mon temps et j'aime beaucoup cela. Je suis content d'avoir commencé à faire ça. Jacquie Durham: Ma fille faisait des bricolages « dans le carré, dans la boîte », comme d'autres le faisait. Des petits dessins, de petites choses. Lorsqu'elle a commencé à parler des Premières Nations, Inuit et Métis, cela a vraiment changé ce qu'elle avait comme information pour développer son bricolage. Elle a commencé à dire : est-ce qu'on a des plumes, des brillants? Est-ce que je peux faire cela? Elle aime beaucoup faire des choses pour d'autres personnes. On a un ami Ojibwe. Elle lui a fait un capteur de rêves. C'était tellement beau et c'était tellement enfant, elle lui a présenté cela. Un homme de 70 ans. Il était comme une « flaque » lorsqu'elle lui a présenté cela. Il a dit que c'était tellement en lien avec toutes les choses que l'on a fait en 1812 et toutes les histoires que l'on se raconte. Toutes les choses de l'école et de notre famille sont impliquées là-dedans. C'est tellement une affaire d'amour et de notre famille pour comprendre que nous sommes tous une famille. C'est vraiment intéressant de voir la manière que cela se développe. On lit des histoires à la maison qu'elle lit, qu'elle écoute la musique. On a un tambour métis. On a des habits métis. On a des ceintures fléchées pour adultes et petits. On avait cela avant, mais une fois que cela a commencé à l'école, elle a commencé à trouver de la valeur sur les autres choses qu'on avait déjà à la maison. Elle a été capable de développer son lien entre ce qu'elle faisait à l'école et ce que l'on a à la maison. Elle apprend pour enseigner. Elle apporte toutes ces histoires à la maison, toutes ces danses, la musique, elle l'enseigne à sa petite sœur. [ Musique ]

Histoires, perspectives, cultures et moyens de savoir des communautés autochtones en salle de classe : Inspirer le changement

Afin de mettre en œuvre le Cadre d’élaboration des politiques de l’Ontario en éducation des Premières Nations, des Métis et des Inuit, 2007, une série de capsules vidéo a été créée. Son objectif est de bâtir la capacité du personnel enseignant et porte sur des pratiques exemplaires qui intègrent de façon authentique les histoires, les perspectives, les cultures et les moyens de savoir des Inuits, Premières Nations et des Métis dans les salles de classe de l’Ontario.

Cette série offre les capsules suivantes :

  • Vidéo d’introduction de la série
  • Relations avec la communauté
  • Relations avec le conseil
  • Susciter des conversations
  • Inspirer le changement

Pour faciliter l’utilisation de ces capsules vidéo dans les conseils scolaires, dans les écoles, avec les comités consultatifs, les organismes autochtones partenaires, les communautés autochtones ou autres partenaires en éducation, un document accompagnateur propose des intentions d’écoute pour encourager la discussion et la réflexion collaborative.